Sandy a été l’un des (peut-être le pire) ouragans de l’histoire des États-Unis, une centaine de morts dont 40 seulement à New York et 8 millions d’habitants de la région immédiate sans électricité. Dans la ville les dégâts sont nombreux et impressionnants sans parler que deux semaines après plusieurs endroits sont encore sans électricité et que l’essence est pour ainsi dire non disponible. Pas le temps d’arriver à New York le réservoir vide…
Le quartier Chelsea, à Manhattan ou plus de 300 galeries se trouvent a été un des endroits de New York le plus touché, ce qui s’explique par la rivière toute proche dont le niveau de l’eau a monté de manière dramatique, sans parler de la pluie et des très forts vents. Ainsi, beaucoup de galeries sont toujours fermées deux semaines après Sandy, pire, certaines ont tout perdu.
À divers degrés toutes les galeries ont été touchées. Quelques jours après le passage de Sandy, un seul mot arrivait à décrire la situation, dévastation. Œuvres souillées, ordinateurs mouillés, outils, meubles, les rues en étaient pleines. Pompes et génératrices se font entendre parmi les bruits des camions, des ouvriers, des galeristes et des membres de leur personnel, occupés à trier et sauver, peut-être, quelques effets. Les galeries dans les étages supérieurs viennent à peine de retrouver le courant électrique et ce n’est pas tant à cause d’une panne de secteur que des inondations dans les sous-sols (7 pieds d’eau dans plusieurs cas) alors les systèmes électriques n’ont tout simplement pas tenus le coup… Les ascenseurs fonctionnent encore partiellement et le chauffage lui est souvent absent.
Cependant, la situation revient peu à peu à la normale, plusieurs galeries ré ouvrent et bientôt les traces de Sandy seront moins visibles mais elle aura laissé une empreinte indélébile à plusieurs…
Si vous voulez aider voici quelques liens :
artdealers.org
misterartsee.org
donate.aspca.org
fbnyc/site/Donation2
habitat.org
À divers degrés toutes les galeries ont été touchées. Quelques jours après le passage de Sandy, un seul mot arrivait à décrire la situation, dévastation. Œuvres souillées, ordinateurs mouillés, outils, meubles, les rues en étaient pleines. Pompes et génératrices se font entendre parmi les bruits des camions, des ouvriers, des galeristes et des membres de leur personnel, occupés à trier et sauver, peut-être, quelques effets. Les galeries dans les étages supérieurs viennent à peine de retrouver le courant électrique et ce n’est pas tant à cause d’une panne de secteur que des inondations dans les sous-sols (7 pieds d’eau dans plusieurs cas) alors les systèmes électriques n’ont tout simplement pas tenus le coup… Les ascenseurs fonctionnent encore partiellement et le chauffage lui est souvent absent.
Cependant, la situation revient peu à peu à la normale, plusieurs galeries ré ouvrent et bientôt les traces de Sandy seront moins visibles mais elle aura laissé une empreinte indélébile à plusieurs…
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