
Mais pourquoi donc ? sinon pour faire apparaître « la métaphore du tissu social », nous confie-t-elle, une image qui devient fondamentale, essentielle, dans ses tableaux où les fils qui avancent et débordent du canevas exposent leur capacité de migration. « Dans le processus par lequel je récupère les fils en déconstruisant des bandes de toiles pour les mettre en scène, je questionne la liberté de l’individu versus ses liens avec la société, quel qu’il soit, …» sculptant autant de lieux de passage et de transformation que de méditation.
