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À ne pas manquer

Rosalie Larouche

Julian Kuerti. Photo, Hilary Scott

En forme de concerto

Juste avant les fêtes de fin d’année, l’Orchestre Métropolitain (OM) nous propose deux grandes œuvres du répertoire symphonique : le Concerto pour violon de Beethoven et le Concerto pour orchestre de Bela Bartók. Le premier, Beethoven l’a écrit avec le souvenir de ses fiançailles secrètes, le deuxième est une commande du chef d’orchestre Serge Koussevitzky qui désirait aider Bartók pris par des difficultés financières. Le concert est dirigé par le premier chef invité de l’OM : Julian Kuerti (…)

En deuxième partie du concert, le Concerto pour orchestre de Bartók est une œuvre qui met en vedette toutes les familles d’instruments, lesquelles exécutent tour à tour des passages concertants et surtout très virtuoses.

Le violoncelliste, Gauthier Capuçon

L’OSM et Britten

Nous n’allions pas terminer cette chronique sans parler de ce concert de janvier dédié à Benjamin Britten, mettant en vedette le chef d’orchestre invité Sir Andrew Davis et le violoncelliste Gautier Capuçon.

Le mensuel Gramophone qualifie ce dernier de « jeune étoile dans le firmament du violoncelle », d’autres, d’ « étoile montante de l’école française », et tous s’entendent en soulignant la puissance de son intensité, sa technique parfaite de l’archet comme de l’instrument et la richesse de ses interprétations.

C’est dans le premier concerto pour violoncelle de Chostakovitch que nous pourrons entendre l’étendue de son talent et découvrir sa personnalité attachante (…)

 Texte complet dans l’édition actuellement en kiosque, Parcours Le magazine No 79